Rosier qui monte jusqu’à deux pieds, même plus, lorsqu’on l’élève dans une serre tempérée. Ses rameaux, diffus et bifurqués, sont armés d’aiguillons inégaux, crochus, épars. Les feuilles se composent de cinq, quelquefois de sept folioles, les unes ovales, les autres pointues, vertes et luisantes en-dessus, plus pâles en-dessous, finement dentées en scie. Le pétiole qui les supporte est légèrement tomenteux, muni de quelques petits aiguillons qui sétendent jusques sur la nervure principale des folioles: à sa base sont deux stipules étroites, denticulées et pointues au sommet. Les fleurs, odorantes, naissent plusieurs ensemble à l’extrémité des rameaux: elles sont portées par des pédoncules communs qui se divisent et se subdivisent, par bifurcation, en un grand nombre de pédicelles ou pédoncules partiels, suivant les règles de la dichotomie. Les pédoncules sont glabres, mais les pédicelles sont hispides-glanduleux. Le tube du calice est globuleux et glabre. Les divisions du limbe, munies, à l’extérieur, de petites glandes sessiles, sont tantôt simples, tantôt garnies de quelques pinnules. Corolle de plusieurs
R. germinibus globosis glabris; pedunculis glanduloso-hispidis; petiolis villosulis cauleque aculeatis; foribus cymosis. (N.) R. Indica dichotoma. Thy. Prod. groupe XXIV, p. 130, spec. 52, var. χ.
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